BIOMETRIE dans un HOTEL de LUXE ?
Le 30 mai 2006, la CNIL a refusé cinq traitements biométriques de contrôle d'accès reposant sur la reconnaissance des empreintes digitales.
. Les dispositifs présentés par 4 banques avaient pour objet de contrôler l’accès aux salles des équipements informatiques et téléphoniques. Lors de l’examen en séance, la CNIL a considéré que l'objectif pouvait être atteint avec 1 enregistrement sur un support individuel, qui ne présente pas les même risques en termes de protection des données, qu’une base de données d’empreintes digitales.
. Le dispositif présenté par l’hôtel de luxe permettait de contrôler l’accès aux chambres. Les clients de cet hôtel parisien devaient faire enregistrer leurs empreintes digitales pour pouvoir ensuite accéder à leur chambre. Là encore, la Commission a considéré que la conservation dans une base de données des empreintes digitales des employés et des clients habilités à accéder aux chambres n’était justifiée par aucun impératif de sécurité. http://www.cnil.fr
France
Rappel : La Commission Nationale Informatique et Liberté considère que le contrôle des empreintes digitales ne peut être admis que dans la mesure où des exigences impérieuses en matière de sécurité ou d’ordre public le justifient.
. Les dispositifs présentés par 4 banques avaient pour objet de contrôler l’accès aux salles des équipements informatiques et téléphoniques. Lors de l’examen en séance, la CNIL a considéré que l'objectif pouvait être atteint avec 1 enregistrement sur un support individuel, qui ne présente pas les même risques en termes de protection des données, qu’une base de données d’empreintes digitales.
. Le dispositif présenté par l’hôtel de luxe permettait de contrôler l’accès aux chambres. Les clients de cet hôtel parisien devaient faire enregistrer leurs empreintes digitales pour pouvoir ensuite accéder à leur chambre. Là encore, la Commission a considéré que la conservation dans une base de données des empreintes digitales des employés et des clients habilités à accéder aux chambres n’était justifiée par aucun impératif de sécurité. http://www.cnil.fr
France
Rappel : La Commission Nationale Informatique et Liberté considère que le contrôle des empreintes digitales ne peut être admis que dans la mesure où des exigences impérieuses en matière de sécurité ou d’ordre public le justifient.