VIRTUALISATION : le Livre Blanc

Publié le par France


Voici les premières lignes du Livre Blanc de la Virtualisation, édité en .pdf ce 21 janvier 2008. Ce livre blanc comporte 95 pages et peut être téléchargé ici.

Introduction
Depuis quelques années, la virtualisation est au coeur des préoccupations des entreprises du secteur informatique. En effet, on assiste à une montée en puissance des acteurs du marché, que ce soit dans le domaine propriétaire avec Microsoft et VMware, ou dans le domaine des logiciels libres, avec l’émergence de nombreux projets autour de la virtualisation. Il suffit de voir le nombre de conférences liées aux technologies de virtualisation pour l’entreprise et le nombre d’articles de presse (en ligne ou papier) traitant de la virtualisation. Cette montée en puissance n’est pas due au hasard : elle suit de très près la demande du marché, qui se tourne de plus en plus vers les technologies de virtualisation.

La virtualisation
L’encyclopédie Wikipédia définit la virtualisation comme "l’ensemble des techniques matérielles et/ou logicielles qui permettent de faire fonctionner sur une seule machine plusieurs systèmes d’exploitation et/ou plusieurs applications, séparément les uns des autres, comme s’ils fonctionnaient sur des machines physiques distinctes" [WFv].

Il s’agit donc d’utiliser une seule machine physique en remplacement de plusieurs et d’utiliser les possibilités offertes par la virtualisation pour démultiplier le nombre de machines virtuelles.

Prenons l’exemple d’une solution de virtualisation faite pour le grand public, de type VMware ou QEMU : l’utilisateur possède un seul ordinateur, sur lequel est installé un système d’exploitation (Microsoft Windows, GNU/Linux, Mac OS X, etc.) ainsi qu’une application qui fait office de machine virtuelle : le logiciel installé par VMware ou QEMU. L’utilisateur peut à partir de là se servir de ce programme pour démarrer un nouveau système d’exploitation (qui peut être totalement différent de celui installé sur la machine physique).

Le système d’exploitation virtualisé — aussi appelé système invité (guest system) — est alors exécuté par la machine virtuelle et est complètement détaché de tout le matériel de l’ordinateur. La machine virtuelle se charge d’émuler* pour le système invité tout le matériel "standard" d’un ordinateur (disque dur, écran, clavier, souris, ...). L’utilisateur peut alors utiliser le système invité comme un système normal : installer des applications, naviguer sur Internet, exécuter un programme, etc.
Le système hôte — installé sur la machine physique — et le système invité sont totalement indépendants : le système invité est vu par l’hôte comme un simple programme, il n’a pas d’accès direct au matériel contrairement à l’hôte....

... la suite en lisant le rapport !
France





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